Marché Saint Pierre (XII)

 – Velazquez, Diego Rodriguez de Silva y, Queen Isabel, Standing, 1631-32, Oil on canvas, 207 x 119 cm, Private collection

 

 – Cats, Dirck van, An Elegant Couple with a Dog, 1622, Oil on canvas, 119 x 156 cm, Private collection

 

– Dutch School, Aefge Gijbland, 1598, Private collection (via Sotheby’s)

 

– Cornelis de Vos, Cornelia or Elisabeths Vekemans, daughter of Joris Vekemans and Maria van Ghinderdeuren, 1625

 

 – Rembrandt, Harmenszoon van Rijn, Portrait of a Young Woman with a Fan, 1633, Oil on canvas, 126 x 101 cm, Metropolitan Museum of Art, New York

 

 – Attributed to William Scrots, Henry Howard Earl of Surrey at age 29, 1546 (via the-paintrist.tumblr.com)

 

 – Georges de Feure, Jane Derval, Folies Bergère, Poster, Minot, Paris (via didoofcarthage.tumblr.com)

 

 – Giusto Sutterman, Portrait of Eleonora Gonzaga as a Bride, oil on canvas, (Christie’s Oct. 2020 via hadrian6.tumblr.com)

 

« The Monogrammist H.E. » – Attributed to Hans Eworth or Joris Hoefnagel, Elizabeth I and the Three Goddesses, 1569, oil on panel, Hampton Court Palace

Allegoric representation of Elizabeth I with the goddesses Juno, Athena & Venus/Aphrodite. The fact that Juno seems to signal the Queen to walk towards the goddess suggests that the painting was commissioned to pressure Elizabeth into marriage.

 

 

• Médiagraphie : Web Gallery of Arts wga.hu, tumblr.com
• Voir aussi : Marché Saint Pierre …
• Marché St Pierre (IX)
• Marché Saint Pierre (X)

 

 

Certains types de croissance

La croissance des arbres est un exemple. les angles des branches, répétés à une plus petite échelle, conduisent, après enchevêtrement, à un arrêt. En fait c’est pareil en deux dimensions, seule la verticalité n’est pas limitée, sinon par la gravité.

L’esprit humain tente de compenser cette perception d’une limitation par une grande ingéniosité mathématique et spirituelle, qui prolonge, soit la croissance, soit la vision d’une autre manière ; ou bien passe à une autre solution extrême et naturelle, la destruction. Entre temps les lois physiques, densité, optique, font qu’avant que la croissance même s’arrête c’est la vision qui est obstruée ; c’est l’argument qu’on ressort à qui piétine sur le seuil spirituel.

Ces domaines théoriques, comme tous les autres, finissent par avoir des applications pratiques, comme la relativité en physique ou les strates psychiques. Sans l’idée d’une âme on n’aurait pas pensé l’inconscient, sans la religion pas de notion de dépassement des limitations humaines ni de commentaires sur la condition des morts. Concurremment à la philosophie, la spiritualité contribue à enrichir notre expérience limitée en ajoutant la dimension du sens.

Quand on voit l’émergence des dieux dans la société, le masquage des problèmes affrontés en vain s’opère, la lumière en vient à effacer les ombres. Le monde, de confus, limité, qu’il était, le reste peut-être mais on se libère d’une sorte de fixation sur ces aspects. Toutes ces solutions : prolonger, enrichir, masquer, reléguer contribuent tout à tour à de nouvelles pratiques qui suscitent des besoins de créativité tant intellectuelle que technique et facilitent leur atteinte. Sans oublier que détruire reste plus que jamais une option face aux incroyants et aux faux dieux.

L’une des conséquences de cette conception est que la manifestation, la réalité apparente, finit par être vue comme la projection, l’illusion, l’ombre au sens de la parabole de Platon : ombre d’une réalité tellement plus réelle mais qui ne peut être appréhendée que par l’intellect éveillé. L’autre conséquence, dérivée de la première, est qu’il faut dévoiler, initier, et que la connaissance est réservée à ceux qui la choisissent comme but et y mettent les moyens. Bien noter en tous cas que l’initiation ne descend pas du ciel mais répond à un besoin situé à un échelon plus élevé que la simple exigence de cohérence.

Une certaine forme d’intelligence est liée à cette capacité à prendre en compte l’existence d’éléments cachés, inconnus à un moment du processus de réflexion, avec la croyance en la possibilité d’y accéder plus tard. Cela tout en sachant que seule l’expérience de la manifestation de ces éléments sera possible, et ce, à travers une grille d’analyse qui le prédit, ce qui s’apparente aux systèmes de manipulation utilisés depuis belle lurette par les groupes de nature sectaires. Ces groupes, à un instant donné, répondent parfaitement à un besoin et seul le consensus scientifique peut invalider leur discours.

Puzzling

– Lazzaro Bastiani, Funeral of St Jerome, 1470-72, oil on canvas, 209 x 263 cm, Gallerie dell’Accademia, Venice

• Médiagraphie : Web Gallery of Arts wga.hu

Où sont morts les douze

Jésus avait choisi douze apôtres, qui, après sa mort, ont évangélisé diverses régions du monde.

Nom	date	lieu	circonstances	notes
Pierre	64-68	Rome	crucifié la tête en bas	alias Simon, frère d’André
André	Ier siècle	Patras, Grèce	crucifié sur une croix en X	frère de Pierre
Jacques le majeur	v. 44	Jérusalem	par l’épée	frère de Jean, décès légendaire à Compostelle
Jean	v. 100	Éphèse (tk)	mort de vieillesse	frère de Jacques, évangéliste
Philippe	62	Hiérapolis, Phrygie (tk)	lapidé et crucifié
Barthélémy	Ier siècle	Artaxata, Arménie	écorché, crucifié et décapité

– St André de Patras (via Wikimedia commons)

– Louis Désiré Blanquart-Evrard, Mosquée d’Omar a Jérusalem, Album photographique de l’artiste et de l’amateur, Lille 1851

– Éphèse (by René Hourdry)

– Théâtre d’Hiérapolis (by on_dit)

 – Artaxata : collage d’une reconstitution 3D et du mont Ararat en arrière-plan (cf. Wikipédia)

• Médiagraphie : Wikimedia commons, Wikipédia
• À suivre avec une carte du monde connu : Où sont morts les douze (II)

Colonnes torses

Des colonnes monumentales, torsadées comme le fil d’un tire-bouchon, parfois ceintes de pampres de vignes, sont dénommées colonnes salomoniques. Le modèle provient du temple de Salomon à Jérusalem. Le terme est repris dans l’attirail maçonnique avec deux colonnes liminales et nommées (J&B), mais nombre de représentations s’en tiennent alors à des colonnes droites.

– Le mariage de la Vierge. Ancien livre d’heures commandé par Étienne Chevalier, trésorier du roi Charles VII. Démembré et les miniatures découpées au début du XVIIIe siècle puis montées sur une planchette de bois par un menuisier encadreur parisien vers 1790. Propriété de Georg Brentano puis acquis auprès de son fils par Henri d’Orléans, duc d’Aumale en 1891. Donné à l’Institut de France.

Un évêque, derrière lequel se tiennent des prêtres, tient les mains de la Vierge et de saint Joseph qui saisit dans son autre main un bâton fleuri. Un groupe de femme se tient à gauche tandis qu’un groupe de prétendants se tient à droite avec eux aussi un bâton à la main. Deux autres prétendants se tiennent à gauche et à droite du couple, ce dernier cassant son bâton de rage. En arrière plan, se dresse un arc de triomphe antique à trois arches. Cette miniature illustrait l’Office de la Vierge pour l’Avent. [via Wikimedia commons]

– Le baldaquin du Bernin, l’autel, et l’abside de la basilique Saint-Pierre, Cité du Vatican (by Jebulon)

– Pompée dans le Temple de Jérusalem. Flavius Josèphe, Les Antiquités judaïques, enluminure de Jean Fouquet, vers 1470-1475, Paris, BnF, département des Manuscrits, Français 247, fol. 293v. (Livre XIV)

– Solomonic columns applied with gilded vines on a side altar in former Jesuits’ church in Poznań (Poland)

– Franc-maçonnerie à Strasbourg : tablier de maître brodé, 19e s. (by Ji-Elle)

– Plat en faïence au décor maçonnique, Lyon, France, XVIIIe siècle.

L’objet original se trouve au musée de la Grande Loge de France, Paris, France

– Le tarot peut représenter la papesse (high priestess) entre les deux colonnes B&J, droites encore.

Deux versions divergentes donc, l’une un peu tordue, d’inspirations artistique, savante et religieuse (les premières colonnes réutilisées au Vatican provenaient plutôt d’un édifice commandé par Constantin) ; l’autre se référant à une tradition – artisanale, populaire, ésotérique – plus rectiligne.

• Médiagraphie : Wikipédia, articles Colonne salomonique et Jakin et Boaz, et Wikimédia commons
• Voir aussi : Papesse, Papesse (II)

Cuisine circulaire

Ce n’est pas juste une mode, mais un bâtiment monumental, souvent décrit comme cuisine antique, attesté ou subsistant dans quelques abbayes, la plus célèbre restant Fontevrault.

• Angers

 » … La cuisine circulaire du XII siècle est reconfigurée. Avec l’évêque Michel Lepeletier, les décors de la façade nord et la salle synodale sont dénaturés ; il fait … »
Palais du Tau (Angers) — Wikipédia

• Vendôme

– Planche gravée du 17ème siècle représentant l’abbaye de la Trinité de Vendôme, en France, dans le livre Monasticon Gallicanum, 17e s. (via bnf)

« La cuisine circulaire (comme à Fontevraud) et l’aile sud ont été remplacées par un bâtiment plus imposant, nécessaire à l’accueil des moines bénédictins mauristes au XVIIIe siècle. »

• Saumur

– Croquis d’une vue sur l’abbaye Saint-Florent de Saumur en 1699

• Chartres

– Veüe de l’abbaye de st Père en Valée à Chartres – 1. l’Eglise 2. le dortoir 3 Refectoire 4 Les // cloistres 5. cuisine antique 6. Infirmeries // 7. Bibliotheque 8. Ecuries 9 La Garenne // 10 St Hilaire paroisse 11. les Cordeliers 12. Jardins // 1696, dessin, Louis Boudan (?) (via Gallica)

• Marmoutier

– Cuisine de l’abbaye de Marmoutier

« … En consultant la Monographie des abbayes de France, on remarque, dans une vue cavalière de l’abbaye de Marmoutier près Tours, une cuisine désignée sous le nom de culina antiqua. Cette cuisine, dont la fig. 1 présente l’aspect extérieur, est une sorte d’immense cornue qui peut avoir 12 m environ de diamètre hors œuvre … »

– Eugène Viollet-le-Duc , Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle, 1856.

• Fontevraud

Fontevraud, ancien Fontevrault, a une longue histoire attachée aux familles royales de Grande-Bretagne et de France. Après un passage par la case prison, où l’on voit pas mal de déprédations, les bâtiments subsistants sont classés et restaurés. La cuisine pourrait être un emblème de la mode de Viollet-le-Duc tant elle détonne par rapport à son aspect primitif.

Fontevrault – Cuisine dite la Tour d’Evrault [avant restauration]

– Cuisines de Fontevrault (Viollet-le-Duc)

– Abbaye Fontevraud – Cuisines (by Jean-Christophe Benoist)

– Fontevrault, intérieur de la cuisine (via delcampe.net)

• Bourgueil

– Planche gravée du 17ème siècle représentant l’abbaye Saint-Pierre de Bourgueil, dans le livre Monasticon Gallicanum (via Bnf)

• Pontlevoy

 – Coquina antiqua – Planche gravée du 17ème siècle représentant l’abbaye de Pontlevoy, en France, dans le livre Monasticon Gallicanum.

• Glastonbury

Cette petite ville du Dorset contiendrait la plus ancienne église bâtie. Elle est également célèbre par une aubépine qui fleurit au printemps et à Noël.

– Abbots Kitchen at Glastonbury Abbey (by Rodw)

« La cuisine faisait partie de la magnifique maison de l’abbé, dont la construction avait commencé sous l’abbé John de Breynton (1334-1342). »

• Divers

« À cette liste il convient d’ajouter l’abbaye de Tiron (E.-et-L.) dont le plan aux Archives Nationales montre une petite cuisine polygonale isolée.

La cuisine polygonale de St Aubin d’Angers n’apparaissait pas à l’extérieur. » [M. Melot]

• Médiagraphie : delcampe.net, Wikipédia, Wikimédia Commons, Bnf, Gallica &c.
• Voir aussi : Michel Melot, L’Abbaye de Fontevrault, Petites monographies des grands édifices de la France, 1971, Éditions Laurens, Paris
• Sainte-Larme
• Abbayes : Monasticon gallicanum

Plougastel-Daoulas avant et après (II)

– Restaurant du Passage – Plougastel-Daoulas (Finistère)

– Plougastel-Daoulas – Chapelle Saint-Languy

– Plougastel-Daoulas – La Chapelle du Passage

– Plougastel-Daoulas – Le Passage

– Brest – Passage de Plougastel – Le Bac

– Plougastel-Daoulas – Pont Albert-Louppe

Construit sur l’Elorn, d’une longueur de 900 mètres y compris une série de petites travées constituant accès, ce pont se compose de trois grands arcs d’une portée de 186 m chacun. « Cet ouvrage est actuellement le plus grand du monde (en béton armé) dépassant de beaucoup ceux que l’on considérait jusqu’à maintenant comme les plus grandioses et les plus hardis » Avis de M. Barthès, Inspecteur général des Ponts et Chaussées.

M Doumergue, Président de la République, l’a inauguré le 9 Octobre 1930. Monseigneur Duparc, Évêque de Quimper, l’a béni solennellement le 12 Octobre 1930. On évalue à 50 000 le nombre de personnes se trouvant ce jour sur le pont.

– Plougastel-Daoulas – Entrée du pont de Plougastel par la Société Anonyme des Entreprises Limousin (Procédé Freyssinet) du côté de Plougastel.

– Plougastel-Daoulas – Le pont

– Plougastel-Daoulas – Centre ville et environs

• Médiagraphie : delcampe.net, Google Maps, geoportail.gouv.fr
• Voir aussi : Plougastel-Daoulas avant et après

Bourreau

Martyrs déterminés et bourreaux salariés : seul le public subit des émotions.

– Sadeler, Aegidius II, The Martyrdom of St Sebastian, c. 1595, Etching and engraving, Rijksmuseum, Amsterdam

– Cranach, Lucas the Elder, The Martyrdom of St Barbara, c. 1510, Oil on linden panel, 152 x 135 cm, Metropolitan Museum of Art, New York

– Cranach, Lucas the Elder, The Martyrdom of St Catherine, 1504-05, Oil and tempera on limewood, 112 x 95 cm, Collection of the Reformed Church, Budapest

– Tintoretto, The Martyrdom of St Paul,  c. 1556, Oil on canvas, 430 x 240 cm, Madonna dell’Orto, Venice

– Sadeler, Jan I, Martyrdom of Saint Ursula, 1575-1600, Engraving on paper, 432 x 279 mm, Szépmûvészeti Múzeum, Budapest

– Lotto, Lorenzo, The Martyrdom of St Stephen, 1513-16, Oil on wood, 51 x 97 cm, Accademia Carrara, Bergamo

– Bartolomeo di Giovanni, Predella: Martyrdom of St John, 1488, Tempera on wood, Spedale degli Innocenti, Florence

– Malouel, Jean, Calvary and the Martyrdom of St Denis, 1416, Oil on panel transferred to canvas, 161 x 210 cm, Musée du Louvre, Paris

– Cavalieri, Giovanni Battista de’, Martyrdom of St. Peter, Print, Victoria and Albert Museum, London

– Martorell, Bernat, St Vincent the Martyr and St Vincent Ferrer, 1430s, Tempera and oil on panel, 103 x 63 cm, The Hermitage, St. Petersburg

– Master of Cabestany, The Death and Martyrdom of St Saturninus (detail), 1150-80, Marble Benedictine Abbey, Saint-Hilaire-d’Aude

– Altdorfer, Albrecht, The Martyrdom of St Florian, c. 1530, Oil on wood, 76 x 67 cm, Galleria degli Uffizi, Florence

– Champaigne, Jean-Baptiste de, The Martyrdom of St Lawrence, c. 1660, Oil on canvas, 82 x 69 cm, National Gallery of Art, Washington

– Hans Baldung, Die Marter des Hl. Laurentius

– Hans Baldung Grien, Die Marter des Hl. Stephanus

– Hans Baldung, Martyrdom of St. Sebastian with Two Crossbow Men, woodcut, first half of the 16th century (les trois : via didoofcarthage.tumblr.com)

• Médiagraphie : Web Gallery of Arts wga.hu

Plougastel-Daoulas avant et après

– Calvaire de Plougastel-Daoulas – Le 3e des six Calvaires de 1er ordres de 1604. Un des chefs-d’oeuvre de l’art breton, 200 personnages figurent dans cette représentation de la vie du Christ. C’est en action de grâces de la cessation de la peste qui désola le pays en 1598 que fut érigé ce calvaire. – (Croas ar vossen) (Croix de peste)

– Plougastel-Daoulas – Le Clocher

– Plougastel-Daoulas – L’Église paroissiale

– Plougastel-Daoulas (Finistère) – Chapelle Saint-Guénolé (XVIe siècle)

– Plougastel-Daoulas (Finistère) – Chapelle de la Fontaine Blanche

– Plougastel-Daoulas – Chapelle de la Fontaine Blanche

– Plougastel-Daoulas – Carte de Cassini et limites actuelles

– Plougastel-Daoulas – Carte d’État-major 1820-1860 et carte 1950

– Plougastel-Daoulas – Vues aériennes 1950 et actuelle

– Plougastel-Daoulas – Carte actuelle

• Médiagraphie : delcampe.net, Google Maps, geoportail.gouv.fr
• Voir aussi : Plougastel-Daoulas avant et après (II)

Mirepoix avant et après (II)

– L’Ariège – Mirepoix – Quartier du Béal et Cazal

– Mirepoix (Ariège) – Marché aux Boeufs

– L’Ariège – Mirepoix – Place du Rumat – Avenue de Limoux

– L’Ariège – Mirepoix – Ruines de Lagarde – Vue sur le Donjon (Monument Historique)

– L’Ariège – Mirepoix – Vue d’ensemble des belles Ruines du Château de Lagarde (XIIIe siècle)

– Mirepoix – Château de Terride

– Mirepoix – Château de Sibra – Entrée, Côté Est

– Mirepoix – Carte de Cassini

– Mirepoix – Carte d’État-major 1820-1860 et carte 1950

Le plan s’inspire des bastides de l’époque. Mirepoix, rebâtie après un déluge, en aval sur l’autre rive de l’Hers, n’en est cependant pas une.

– Mirepoix – Vues aériennes 1950 et actuelle

• Médiagraphie : delcampe.net, Google Maps, Wikipédia, geoportail.gouv.fr
• Voir aussi : Mirepoix avant et après