Ceinture

– Niccolò di Cecco del Mercia, Assunta che dà la Cintola a San Tommaso, Museo dell’Opera del Duomo, Prato

– Maso di Banco, Descent of Mary’s Girdle to the Apostle Thomas, 1337-9, Berlin

– Paolo di Giovanni Fei, Assumption of the Virgin, 1400-05, Tempera on panel, 67 x 38 cm, National Gallery of Art, Washington

St Thomas demande à la Vierge une preuve de son assomption miraculeuse. En réponse, Marie dénoue et laisse tomber sa ceinture dans les bras de l’apôtre incrédule. La plus fameuse des reliques de la Vierge constitue le trésor de la cathédrale de Prato (Italie).

– Pietro di Giovanni d’Ambrogio, Assumption of the Virgin, 1430s, Tempera on wood, 86 x 51 cm, Christian Museum, Esztergom

– Filippo Lippi, Madonna della Cintola, 1455–65, Prato

La ceinture n’est pas épaisse ni très photogénique, il faut les yeux de la foi pour la distinguer parfois.

– Bartolomeo di Andrea Bocchi, Madonna enthroned with angels and apostles, first half of 15th century, tempera and gold leaf on panel, 175 x 206 cm, National Museum in Warsaw, Poland

– Sebastiano Mainardi, Assumption of the Virgin with the Gift of the Girdle, 15th century, Baroncelli Chapel

– Bartolomeo della Gatta, The Lady of the Assumption Gives St Thomas Her Belt, c. 1475, Tempera on panel, 317 x 221 cm, Museo Diocesano, Cortona

– Raffaello, Sanzio, Study for St Thomas, 1502-03, Silverpoint on white prepared paper, 268 x 196 mm, Palais des Beaux-Arts, Lille

– Palma Vecchio, Assumption of the Virgin, 1512-14, oil on panel 191 x 137 cm, Gallerie dell’Accademia, Venice

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Saint-Germain-en-Laye avant et après

– Saint-Germain-en-Laye – La Chapelle du Château

– Saint-Germain-en-Laye (S.-et-O.) – Le Château – Vue d’ensemble

– Saint-Germain-en-Laye – Le Château – Cour intérieure – Tourelle (Nord-Est)

– Saint-Germain-en-Laye – Le Château – Reste de la Colonne

Galvanoplastie de la partie basse de la colonne Trajane, exposée dans les fossés du Château

– Saint-Germain-en-Laye – Rue de la Paroisse

– Saint-Germain-en-Laye – L’Église et la Place

– Saint-Germain-en-Laye – Intérieur de la Gare et le Château

– Saint-Germain-en-Laye – La Place du Château

– Saint-Germain-en-Laye – La Mairie

– Saint-Germain-en-Laye (S.-et-O.) – Vue générale prise du Château sur la Gare et la Ville – General View taken from the Castle towards the Station and the Town

– A. Collin, 2, Rue de Pontoise, St-Germain-en-Laye – Produits F. Potin

– Saint-Germain-en-Laye (S.-et-O.) – Rue de la Surintendance

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• Voir aussi : Saint-Germain-en-Laye avant et après (II)
• Saint-Germain-en-Laye avant et après (III)
• Saint-Germain-en-Laye avant et après (IV)

Rueil-Malmaison avant et après (III)

– Rueil – Place de l’Église

– Rueil – Les Écoles

– Rueil-Malmaison – Pont du R.E.R.

– Rueil-Malmaison – Boulevard de Belle-Rive

– Rueil-Malmaison – Relais de Rueil-Malmaison

– Rueil-Malmaison – La Malmaison

– Rueil-Malmaison – N.-D. du Lac

– Rueil-Malmaison – St Nicolas

– Institution Saint-Nicolas de Buzenval – Vue générale des bâtiments

– Rueil-Malmaison – Hôtel Saint-Nicolas

– Rueil – Monument commémoratif de la Bataille de Buzenval, 10 Janvier 1871

– Rueil-Malmaison – Quelques tours du cru

Rueil-Malmaison – carte actuelle

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• Voir aussi : Rueil-Malmaison avant et après
• Rueil-Malmaison avant et après (II)

Rueil-Malmaison avant et après (II)

– Rueil-Malmaison – Hôpital Stell – Fondation Edward Tuck

– Rueil-Malmaison – Les Martinets

– Rueil-Malmaison – Pont du Chemin de Fer

– Rueil-Malmaison – Place de la Gare

– Rueil – La Seine – Vue vers l’Eglise de Chatou

– Institution Saint Nicolas de Buzenval par Rueil (S.et-O.) – Vue Générale des Bâtiments

– Rueil-Malmaison – La Malmaison

– Rueil-Malmaison – Château de Bois-Préau

– Rueil-Malmaison – Square St-Exupéry

– Suresnes – Le Fort du Mont Valérien

–  Rueil-Malmaison – Carte actuelle

– Rueil-Malmaison – Carte de Cassini

Chatou – Croissy – Poste – Belair – La Boule Royale – Donjon de Maurepas – Caserne – Ruel – Mont Valerien – La Jonchere – La Malmaison – Suresnes – Fouilleuse – Busanval – La Selle – Vaucresson – Garches – Montretout

– Rueil-Malmaison – Carte d’État-major 1820-1860

En plus : Station de Rueil – Moulin – Route de Caën et de Cherbourg – Moulin Herode – Moulin – Bougival – Porte du Longboyau – Fouilleuse – Carrefour de Malmaison – Carrefour des Forains – La Bergerie – Carrefour du Pré Bony – Etang de Saint Cucufa – Vacherie de Saint Cucufa – Celle St Coud – La Bergerie – Carrefour des Suisses – R. Toutin – Porte de Vaucresson – St Cloud – Petit Garches

– Rueil-Malmaison – Carte de 1900

En plus : Île du Chiard – Usine à gaz – Le Moulin Gibet – Bois Préau – Parc Richelieu – Vermont Château – Château – Le Vertbois Château – Haras – Hippodrome de St Cloud – Haras

Rueil – Malmaison – Carte de 1950

En plus : Croix de Rueil – Cité Jardins – St Nicolas – Réservoir – Réservoir de l’Avre – La Feuillaume

Rueil – Malmaison – Vues aériennes 1950 et actuelle

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• Voir aussi : Rueil-Malmaison avant et après
• Rueil-Malmaison avant et après (III)

Ambroise

Ambroise, né à Trèves, reponsable politique à Milan, non baptisé, est choisi comme évêque. Il a baptisé Augustin. Il réemploie les traditions de l’administration romaine et des fêtes et rites païens. Il laisse une liturgie et un corpus d’écrits, conservé avec sa tombe sous l’autel de la cathédrale. L’histoire de la ville s’empare, à différentes époques, de son aura.

« L’aura ambrosienne … une nuée de sens incertain qui s’insinue et nous domine » – P. Boucheron

– Milan, St Vittore in Ciel d’Oro

– Medieval sculptor, Italian, Tomb of Azzone Visconti, 1342-44, Marble San Gottardo, Milan

– Masolino da Panicale, St Ambrose, 1435, Fresco, Baptistery, Castiglione Olona

Augustin témoigne de la pratique, par son maître, de la lecture silencieuse

– Giovanni di Piamonte, St Ambrose, 1456-66, Fresco, San Francesco, Arezzo

– Gozzoli, Benozzo, Arrival of St Augustine in Milan (scene 8, north wall), 1464-65, Fresco, 220 x 230 cm, Apsidal chapel, Sant’Agostino, San Gimignano

Le personnage de droite est Ambroise qui accueille Augustin

– Vivarini, Bartolomeo, St Ambrose Polyptych, 1477, Tempera on wood, 125 x 47 cm (central panel), 108 x 36 cm (side panels), Gallerie dell’Accademia, Venice

– Vivarini, Alvise, Altarpiece of St Ambrose, 1503, Oil on panel, 500 x 250 cm, Santa Maria Gloriosa dei Frari, Venice

Assis au-dessus de ses saints camarades, écrasant même un peu ses contemporains

– Bergognone, Ambrogio, St Ambrose with Saints, c. 1514, Panel Certosa, Pavia

– Francken, Frans I, Jesus among the Doctors, 1587, Oil on wood, 250 x 220 cm (centre panel), 250 x 97 cm (wings), O.-L. Vrouwekathedraal, Antwerp

À gauche Ambroise, saint patron des maîtres d’école d’Anvers, baptise Augustin

– Dyck, Sir Anthony van, Emperor Theodosius Forbidden by St Ambrose To Enter Milan Cathedral, 1619-20, Oil on canvas, 149 x 113 cm, National Gallery, London

– Fracanzano, Cesare, St Ambrose, Oil on canvas, 126 x 101 cm, Bowes Museum, Barnard Castle

– Stom, Matthias, St Ambrose, Oil on canvas, Öffentliche Kunstsammlung, Basel

– Bernini, Gian Lorenzo, Throne (Cathedra) of St Peter, 1657-66, Marble, bronze, white and golden stucco, Basilica di San Pietro, Vatican

– Champaigne, Philippe de, Sts Gervase and Protase Appearing to St Ambrose, 1658, Oil on canvas, 360 x 678 cm, Musée du Louvre, Paris

– Subleyras, Pierre, St Ambrose Converting Theodosius, 1745, Oil on canvas, Galleria Nazionale, Perugia

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• Rucher
• Maquette

Rueil-Malmaison avant et après

– Rueil – L’Église et la Place

– Rueil-Malmaison – L’Église

– Rueil-Malmaison – Centre ville

– Rueil (S.-et-O.) – Hôtel de Ville

– Rueil-Malmaison – Mairie actuelle

– Rueil-Malmaison – Marché

– Rueil-Malmaison – Le Tabalire

– Rueil – Avenue de Paris et Rue Maurepas

– Rueil – Rue Maurepas

– Rueil-Malmaison – Rue Paul Vaillant-Couturier

–  Rueil-Malmaison – Caserne

– Rueil-Malmaison – Carte actuelle, centre ville et gare

Pont de Chatou – Lycée – Collège – Rueil 2000 – Les Goulvents – Collège – Les Martinets – La Plaine – La Seine – Église St Pierre St Paul – Collège – Piscine – Collège – Château de Bois Préau – La Malmaison – Les Bons Enfants – Parc de Bois Préau – Cèdre de Marengo – Les Closeaux – Château de la Malmaison – Vert Mont – Parc Richelieu – La Petite Jonchère – Le Vert Bois – Domaine de la Côte Noire

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• Voir aussi : Rueil-Malmaison avant et après (II)
• Rueil-Malmaison avant et après (III)

Bizarre (XII)

À coup sûr le premier pseudo-selfie de l’histoire :

– Carpaccio, Vittore, Portrait of an Unknown Man with Red Beret, 1490-93, Tempera on wood, 35 x 23 cm, Museo Correr, Venice

La Modération est en train de plumer un aigle :

– Veronese, Paolo, Moderation, 1578-82, Oil on canvas, 160 x 160 cm, Palazzo Ducale, Venice

Singulière prémonition (ce n’est pas moi qui l’ai trouvée) :

– Rogier van der Weyden, Dreikönigsaltar, Mitteltafel: Anbetung der Heiligen Drei Könige, oil on panel, 138 x 153 cm, Alte Pinakothek, Munich (via Wikimedia Commons)

Le lièvre-cerf était encore présent dans nos contrées …

– Joris Hoefnagel, Plate XLVII (77) from Animalia Qvadrvpedia et Reptilia (Terra), showing a horned hare, 1575/1580, watercolor and gouache, with oval border in gold, on vellum, 14.3 x 18.4 cm, National Gallery of Art, Washington

Tute lepus es et pulpamentum quaeris – XXXXVII – Lepus dormit

Un evêque est témoin du meutre de Jean-Baptiste :

– Weyden, Rogier van der, St John Altarpiece (right panel), 1455-60, Oil on oak panel, 77 x 48 cm, Staatliche Museen, Berlin

En attendant le tramway …

– Verburgh, Dionijs, Wooden Landscape with Christ and the Apostles, Oil on panel, 83 x 59 cm, Private collection

Bien sûr qu’il s’agit d’ornières causées par le passage répété des charrettes. Cependant l’empattement, sur lequel se sont calqués nos chemins de fer, paraît un peu large.

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• Voir aussi : Bizarre (VII)
• Bizarre (VIII)
• Bizarre (IX)
• Bizarre (X)
• Bizarre (XI)

P.-S. Pour le selfie je me rétracte :

– Ambroise expulse les hérétiques, 1171, porta Romana, Milan (via P. Boucheron, cours au Collège de France)

Emblèmes (III)

Dans cette série « Emblèmes », je me penche sur ce qui détermine tel auteur à présenter tel recueil. Mais sans conclure. On sait que ce qui constitue ces recueils, des images avec un titre et éventuellement une légende, présente un symbolisme et une morale, même banalement ressassée. Mais le choix opéré en finale reste énigmatique. De même sans doute sera vu le rapport entre La Fontaine et les fables d’Ésope.

Aujourd’hui, un grand auteur, Jacob Hoefnagel (1575-1630), artiste flamand, fils de Georg Hoefnagel (1545-1600). Son père est un artiste d’Anvers qui réalise les illustrations des plantes et d’animaux présents dans le cabinet de curiosités de l’empereur Rudolph II, à Prague.

Un album de dessins emblématiques intitulé Gloria Crocodilus, conservé au British Museum, a été attribué à Jacob Hoefnagel. L’album se compose de 82 feuilles, dont 63 portent des cocardes miniatures en couleurs, chacune portant un titre en latin.

Non omnia possumus omnes.

Peragit tranquilla postestas, quod violentia nequit.

Et l’on voit apparaître, pêle-mêle, un éléphant, un cimier, une arbalète, des poissons, Orphée, un tonneau que l’on remplit, un niveau, une épée laurée, un paon (vanité!), un coquatrix, un corbeau, un chien, un cheval attrapé par la queue, un autre dans une bataille, un centaure, un coeur que l’on sonde, une main dotée d’un oeil, une autre tenant une rame, ou tenant une épée tronquée, ou une fronde, deux mains sortant d’un nuage …

Vanitas. – Sibi conscia recti. – Alterius altera poscit opem. – Plus nobilis irae truncus habet. – Irrevocabilis. – Misceture decori virtus. – Nisi infundas oleum. – Ni laxes rumpitur.

Differimus post praelia predas. – Peragit tranquilla postestas, quod violentia nequit. – Tunc vitium apparet. – Judico non judicor. – Idem pacis mediusque belli. – Vanitas. – Improbitas sui ipsius poena. – Non omnia possumus omnes.

Dum sedet invadunt. – Non bene conveniunt. – Meluis si singula. Exercet utriumque. – Non habet fundum. – Assuesco futurae militiae. – Miscetur decori virtus. – Ego vero haud mordeor.

Oculata fides.

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• Voir aussi :Emblèmes
• Emblèmes (II)
• Jacob Hoefnagel y su Gloria Crocodilus : olga-totumrevolutum.blogspot.com

St Nicolas

Nicolas, évêque de Myre, finit transféré à Bari. Il s’occupe des petits enfants sages. Dans la légende il sauve trois prisonniers, trois enfants du saloir du boucher … on dit encore qu’il offre la dot de trois vierges sous la forme de sacs d’or qui se présentent dans l’iconographie subséquente comme des boules d’or.

– Angelico, Fra, Perugia Altarpiece (left panel), 1447-48, Tempera and gold on panel, 95 x 73 cm, Galleria Nazionale dell’Umbria, Perugia

– Unknown Master, Italian, St Nicholas Providing the Dowry (north wall, right), 1278-79, Fresco, Sancta Sanctorum, Lateran Palace, Rome

– Gentile da Fabriano , The dowry for the three virgins, c. 1425, Pinacoteca Vaticana, Rome

– Angelico, Fra, The Story of St Nicholas: Giving Dowry to Three Poor Girls, 1447-48, Tempera and gold on panel, Pinacoteca, Vatican

– Matteo di Giovanni, St Nicholas of Bari, 1455-60, Tempera on wood, 43 x 25 cm, Lindenau-Museum, Altenburg

– Raffaello, Sanzio, Madonna and Child (The Ansidei Altarpiece), c. 1505, Oil on wood, 209,6 x 148,6 cm, National Gallery, London

– Der hl. Nikolaus errettet 3 Jungfrauen vor dem Bordell, Oberbobritzsch (Bobritzsch-Hilbersdorf), Kirchstraße

Le miracle est que les boules d’or tiennent en équilibre sur une bible, le fait est maintes fois attesté!

– Nicolás Falcó, Saint Nicolas et Saint Denis, vers 1500-1525, Musée de l’Almodi de Xàtiva

– Tintoretto, St Nicholas, Oil on canvas, 114 x 56 cm, Kunsthistorisches Museum, Vienna

– Wappen der Gemeinde Ebermannsdorf als Sinnbild für den Ortsteil Pittersberg (héraldique : ville d’ Ebermannsdorf)

– –   – –

On pense aussi à la légende d’Atalante. Hippomène gagne une course contre elle en laissant tomber trois pommes, sacrées bien sûr, qu’elle ramasse.

– Willem van Herp, Atalanta and Hippomenes, ca. 1650

Les prêteurs sur gages ont eu coutume d’arborer trois boules comme dans cette gravure :

– (via ancientpages.com)

Noter que le blason des Médicis, famille de banquiers, arrive à cinq boules. Encore deux et on peut appeler le dragon.

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• Voir aussi : Saints volants

Tout en bas

Et voici Dante, auteur de la Divine comédie, lauréat respecté.

– Raffaello, Sanzio, Disputation of the Holy Sacrament (La Disputa), 1510-11, Fresco, width at the base: 770 cm, Stanza della Segnatura, Palazzi Pontifici, Vatican

Il figure à la droite d’Homère lors de son apothéose.

– Ingres, Jean-Auguste-Dominique, The Apotheosis of Homer, 1827, Oil on canvas, 386 x 512 cm, Musée du Louvre, Paris

Si ce dernier nous conte la prise de Troie et les tribulations d’Ulysse, Dante a aussi vécu un voyage en enfer, guidé par Virgile.

– Andrea del Castagno, Famous Persons: Dante Allighieri, c. 1450, Fresco, transferred to wood, 250 x 154 cm, Galleria degli Uffizi, Florence

– Baldini, Baccio, Inferno I, c. 1481, Copper engraving, Biblioteca Riccardiana, Florence

– Delacroix, Eugène, The Barque of Dante, 1822, Oil on canvas, 189 x 246 cm, Musée du Louvre, Paris

– Botticelli, Sandro, Dante: Divina Commedia, 1480s, Manuscript (Ms. Hamilton 201), 320 x 470 mm, Staatliche Museen, Berlin

La fin du voyage s’effectue avec Béatrice, que Dante n’a vue qu’une fois et qu’elle guide vers le paradis.

– Miniaturist, Italian, Dante: Divina Commedia, 1380-1400, Manuscript (Cod. It. IX. 276), Biblioteca Nazionale Marciana, Venice

Les descriptions de l’enfer avec ses cercles étagés constituent un sacré thème architectural. L’informe bouche de l’enfer est dès lors mise en concurrence, et pour longtemps.

– Nardo di Cione, Hell (north wall), 1354-57, Fresco, Cappella Strozzi, Santa Maria Novella, Florence

– Bartolomeo di Fruosino, Inferno, from the Divine Comedy by Dante, (Folio 1v), 1430-35, Manuscript (Ms. it. 74), 365 x 265 mm, Bibliothèque Nationale, Paris

– Miniaturist, Italian, Dante: Divina Commedia, 15th century, Manuscript (Banco Rari 215), Biblioteca Nazionale Centrale, Florence

– Domenico di Michelino, Dante and the Three Kingdoms – Dante Illuminating Florence with his Poem, 1465, Oil on canvas, Museo dell’Opera del Duomo, Florence

– Botticelli, Sandro, Dante: Divina Commedia, 1480s, Manuscript (Reg. lat. 1986), 320 x 470 mm, Biblioteca Apostolica, Vatican

– Unknown Master, Italian, Allegorical Portrait of Dante, c. 1530, Oil on wood, 127 x 120 cm, National Gallery of Art, Washington

Joseph Anton Koch, l’Inferno di Dante, 1825, penna, oinchiostro marrone e nero, acquerello e gouache, Museum Boijmans Van Beuningen (by Saiko via wc)

– Gustave Doré, The Divine Comedy by Dante, Illustrated, Hell, Volume 01, 1892

Cuma – Iherusalem – Diametro in Arco M 3400 – Siagurati – Acheronte flumen – Limbo – Minos – Luxuaiosi – Francesca Pavis – Golo – Avari et Prodighi – Irosi – Heretici – Sito et Forma de la val Infer – Nesso – Violenti asestessi – Violenti a Dio a la Natura e a l Arte – Burata – Gerione – Ruffiani – Fedoli – Nicromanti – Baratteri – Ipocriti – Ladri – Inganatori – Sismatici – Falsatori – Lucifer – Centro de la Terra – Profondita M 3400 – (Libretto 324 3/11)

Comme la mesure de l’arc égale celle du rayon qui mène au centre de la terre, 3400 M, avec les mesures d’aujourd’hui, rayon de 6371 km, la calotte du cône sis sous Jérusalem a une surface de 31 204 566 km2. C’est deux fois la Russie ou bien le Canada, les États-Unis et la Chine réunis. La quasi totalité du monde connu par Dante flotte sur l’Acheron, fleuve des enfers.

– Cercle de rayon ~6109 km centré sur la Judée

Même son couvre-chef emprunte la célèbre structure.

– Weyden, Rogier van der, Group of Men, c. 1460, Oil on panel, 50,1 x 31,7 cm, Musées Royaux des Beaux-Arts, Brussels

Le chapeau du personnage de droite …

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P.-S.

– (via reddit.com)

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