la main invisible des fourmis
– Giordano, Luca, Scene from the figural frieze, 1683-85, Fresco, Palazzo Medici Riccardi, Florence
Une inflation de symboles conduit à multiplier aussi les porteurs ou porteuses d’iceux. Ainsi la mort d’Adonis est-elle prétexte à convoquer cornes d’abondance, globe ailé, mors, coupe, ouroboros, bouquet, clés … une pléthore de nymphes gagne ainsi un emploi mais combien l’art indien est-il plus économique parfois …
– Kali (via shirdisaibaba100.blogspot.ca)
Voir aussi : Écrasons et foulons
Chardons ardents. Ce motif revient souvent. Artichaut, ananas, chardon ?
– Memling, Hans, Virgin Enthroned with Child and Angel, c. 1480, Oil on wood, 66 x 46,5 cm, Staatliche Museen, Berlin
– Master of the Legend of Saint Ursula (I), Virgin and Child Adored by a Donor Presented by St Michael, Oil on panel, 44 x 34 cm, Private collection
– Memling, Hans, St John Altarpiece (central panel), 1474-79, Oil on oak panel, 173,6 x 173,7 cm, Memlingmuseum, Sint-Janshospitaal, Bruges
Artichaut, ananas, chardon ?
– Unknown weaver, Italian, Textile fragment, 15th century, Red cut velvet with gold foil, 165 x 82 cm, Museo Nazionale del Bargello, Florence
– Greco, El, Portrait of a Cardinal, c. 1600, Oil on canvas, 171 x 108 cm, Metropolitan Museum of Art, New York
– Unknown master, German, The Adoration of the Magi, c. 1505, Oak, 57,2 x 50,7 cm, Wallraf-Richartz-Museum, Cologne
– Piero della Francesca, Polyptych of St Augustine: St Augustine, c. 1465, Tempera on panel, 132 x 57 cm, Museu Nacional de Arte Antiga, Lisbon
– Riedel, August, Judith, 1840, Oil on canvas, 131 x 96 cm, Neue Pinakothek, Munich
– Weyden, Rogier van der, St Luke Drawing the Portrait of the Madonna, c. 1450, Oil on oak panel, 138 x 110 cm, Alte Pinakothek, Munich
– Cornelisz van Oostsanen, Jacob, Christ Appearing to Mary Magdalen as a Gardener, 1507, Oil on oak, 55 x 39 cm, Staatliche Museen, Kassel
– Vivarini, Bartolomeo, Triptych (detail), 1460s, Egg tempera on wood, Metropolitan Museum of Art, New York
– Mignon, Abraham, Still-Life with Fishes and Bird Nest, c. 1670, Oil on canvas, 89 x 71,5 cm, Szépmûvészeti Múzeum, Budapest
– Floris Claesz van Dijck, Still Life with Cheese, 1615, oil on panel, Rijksmuseum
La nature morte n’est qu’un élément du tableau.
– Christus, Petrus, St Eligius in His Workshop, 1449, Oil on panel, Metropolitan Museum of Art, New York
– Claesz., Pieter, Still-Life, 1625-26, Oil on panel, oval, 29 x 39 cm, Private collection
– Codino, Francesco, Still-Life with Fruit, 1620-24, Oil on panel, 42 x 66 cm, Accademia Carrara, Bergamo
– Trompe l’œil, attribué à Jean Valette-Falgores
– Desportes, Alexandre-François, Still-Life of Game, Oil on canvas, 89 x 113 cm, Private collection
– Pablo Picasso, Still Life under a Lamp, 1962
– Bayon (Angkor Thom)
Malgré son peu d’importance, [l’Euron] porte préjudice aux propriétaires riverains, car il suffit d’un orage violent ou de pluies de quelques jours pour qu’il inonde la vallée toute entière.
Les habitants sont vigoureux, de taille moyenne, ils sont actifs et intelligents, d’un caractère très sociable et jovial : parleurs et ennemis de la chicane.
Le poisson est assez commun ; il le serait davantage encore sans le braconnage continuel auquel se livrent quelques individus de la commune. On rencontre toutes sortes de poissons dans la Moselle : le brochet, la truite, l’ombre-chevalier, la perche, l’anguille, la lotte, la carpe, le barbeau, la chiffe, le chevenne (vilain), la rousse, la vandoise, l’ablette, la tanche, le goujon, la moustoile, le bavard, le véron.
– Monographie communale de Bayon, 1900
– Bayon – Le Petit Bois
– Bayon (M.-et-M.) – Le Pavillon du Petit Bois
– Bayon – Vues aériennes
Vézelise – Méhoncourt – Gerbeviller – Haroué – Crantenoy – Bayon – Ambacourt – Charmes – Ubexy – Vincey
– Bayon – Impasse des remparts
– Bayon – plan et cartes
– Claudot, Bayon, 1800
– Bayon – plan actuel et limites
– Bayon – Église et Presbytère
Église Saint-Martin, de style néo-Renaissance, du XIXe siècle, dont la flèche s’élance à 54 m de hauteur : une pietà et trois statues du XVème siècle provenant de l’ancienne église, ainsi qu’une mise au tombeau datant du début XVIème siècle et provenant de la chapelle de l’Hôpital.
– Bayon – Le Château
« Château début XIIIe siècle démantelé par les Français en 1636, sur ordre de Richelieu, remplacé en 1874 par une maison de maître de style néo-Renaissance, détruite au cours de la seconde Guerre mondiale, elle a été reconstruite à un emplacement légèrement différent. »
– Bayon – Café de l’Est et Grande-Rue
– Bayon (M.-et-M.) – Place de Lorraine
– Bayon – Place de Lorraine
– Bayon – La Poste et l’Hôpital
– Bayon (M.-et-M.) – Grande Rue
– Bayon – Hôtel de Lorraine
– Bayon – Vue de l’Hôpital
« Autorisé par lettres patentes du duc de Lorraine Henri II en date du 28 mars 1623, l’établissement d’un couvent des R. R. Tiercelins à Bayon fut définitivement confirmé par le duc Charles IV le 19 janvier 1629. Dix religieux s’installèrent alors dans les dépendances du château féodal qui leur avaient été concédées par le duc de Croy, châtelain du lieu, dont le père avait été à l’origine de leur venue.
En 1680, les Tiercelins quittèrent les bâtiments du château pour occuper, jusqu’à la Révolution où il fut vendu comme bien national, le couvent qu’ils avaient fait construire à l’extérieur des murailles de la cité, à l’emplacement de l’hôpital-hospice -l’actuelle maison de retraite- que les Soeurs de Saint Charles firent édifier au début du XXème siècle grâce à une donation du général de Bouvier qui venait passer l’été dans sa propriété de Bayon. »
Tous les clichés s’alignent presque sur la grande rue avec l’église et le château au nord, en haut de la photo, et l’hôpital, qui a perdu deux tourelles, au sud.
– (via delcampe.net)
qu’est-ce qu’on attend de l’avenir ? On n’a rien pour se baser … Que des idées faussées.
Si on n’a plus la rampe de l’astrologie ni le filet de sécurité de la religion, on risque de tomber dans une insécurité définitive, heureusement contrée de nos jours par la croyance en un progrès indéfini des sciences et techniques et la drogue de la surconsommation.
Un point pour l’astrologie donc, qui tient peut-être ce qu’elle promet mieux que nos béquilles modernes : pas d’effets secondaires néfastes ni pour le psychisme ni pour la planète.
L’astrologie aujourd’hui n’est plus entendue qu’à travers des systèmes de signes astrologiques, traditionnels ou chinois, indiens, celtes, avec les caractères standardisés imaginés pour chaque natif.
Cet état de fait contribue à plonger l’art dans une ringardise malséante qui côtoie des efforts d’imagination artistique qui valent ce qu’ils valent :
La science d’aujourd’hui étouffe sous la cendre des anciens savoirs. On connaît leurs insuffisances mais on ne trouve plus la braise qui illumine ce feu qui couve. Considérons la physique : Einstein a presque tout écrit il y a plus de cent ans. Notre vision de la matière et de l’énergie a atteint un sommet – un palier malcommode.
Impossible de concilier gravité et mécanique quantique. Nécessité de créer des accélérateurs qui coûtent des dizaines de milliards sans certitude de progresser. La matière connue représente près de 5% de l’univers. La matière noire, de composition totalement inconnue, et l’énergie noire, tout aussi improbable, constituent le reste.
L’illusion que nous progressons, avec des traces du boson de Higgs, des enregistrements d’ondes gravitationnelles, est dangereuse. Ces étapes confortent le modèle standard de la physique, les pauvres 5%, sans résoudre aucun de ses manques.
La biologie constitue maintenant la nouvelle frontière. À quoi bon aller dans les étoiles si on reste sujets aux maladies, mortels en somme. Le chemin vers l’immortalité est pavé d’illusions, je pense que nous nous acheminons vers un paradis coûteux et réservé à quelques-uns, au prix de déboires et d’injustices continus pour les autres comme pour la planète.
– Persian ‘zodiac’ rug, probably Kerman area, south west Persia, early 20th century, 2.01 m. x 1.32 m.
Née tout habillée du cerveau de quelques alexandrins, l’astrologie a-t-elle aujourd’hui un mot à dire face aux immenses lacunes du modèle standard, aux délires tyranniques de l’argent et du transhumanisme ? Elle doit se remettre en cause et progresser, car personne n’attend d’un art ni d’une science qu’il reste figé. Elle doit accepter, et son incomplétude, et sa mauvaise réputation chaque jour augmentée par un commerce abusif. Pour, peut-être, emmener un jour quelqu’un quelque part, ailleurs, chez soi.
– (via delcampe.net)
Annexe
Nos astrologues alexandrins, à l’époque hellénistique, connaissaient des instruments de mesure et de visée suffisants pour leur art, mais ignoraient astrolabe, sextant, boussole ou lunette …
– Giorgione, Frieze in the main hall (detail), c. 1510, Fresco, Casa Marta, Castelfranco Veneto
| Terme | Définition |
| écliptique | grand cercle représentant la projection, sur la sphère céleste, de la trajectoire annuelle apparente du Soleil vue de la Terre ; et aussi plan géométrique contenant l’orbite de la Terre autour du Soleil ; les planètes et le zodiaque sont toujours proches de l’écliptique |
| point vernal | l’une des intersections de l’écliptique et l’équateur céleste, celle de l’équinoxe de printemps |
| latitude | position nord-sud sur le globe terrestre correspondant à la mesure de l’angle, sur un méridien, du point entre l’équateur et le pôle ; les lieux, dits parallèles, où la hauteur du soleil est la même à la même heure et à la même période de l’année ont la même latitude |
| longitude | angle est-ouest fait en un point par le méridien qui relie les pôles avec le méridien de référence (à Greenwich près de Londres) ; fonctionne avec la latitude pour disposer de coordonnées précises |
| déclinaison | angle entre un point de la sphère céleste et l’équateur céleste, équivalent de la latitude terrestre projetée sur la sphère céleste |
| ascension droite | angle entre le cercle horaire d’un astre et un cercle horaire de référence, passant au point vernal, équivalent de la longitude terrestre ; fonctionne avec la déclinaison |
| gnomon | instrument astronomique qui visualise par son ombre les déplacements du Soleil sur la voute céleste ; il permet de prendre la hauteur du Soleil, déterminée par la longueur de son ombre |
| cadran solaire | table graduée associée à un gnomon, où l’angle de l’ombre donne approximativement l’heure, et sa longueur, la variation due aux saisons |
| anneau équatorial | sorte de cadran portatif formé de deux cercles perpendiculaires gradués et d’un cercle intérieur ou d’un gnomon donnant l’heure exacte |
| alidade | réglette munie d’un système de visée |
| astrolabe | instrument gradué qui mesure la hauteur d’un astre à l’aide d’une alidade et détermine l’heure de l’observation sur un graphe de référence dépendant de la latitude du lieu |
| sextant | instrument de navigation à réflexion servant à mesurer la distance angulaire entre deux points aussi bien verticalement que horizontalement |
| boussole | instrument de navigation constitué d’une aiguille magnétisée qui s’aligne sur le champ magnétique de la Terre, indiquant le nord magnétique |
| lunette | instrument monoculaire destiné à obtenir une vision rapprochée des objets éloignés à l’aide de lentilles |
| calendrier | système de repérage des dates en fonction du temps, structuré en années, mois et jours |
| éphémérides | tables astronomiques par lesquelles on détermine, pour chaque jour, les positions des objets célestes |
| almanach | combinaison de calendrier, d’éphémérides et d’informations pratiques |
| constellation | groupe d’étoiles voisines sur la sphère céleste, portant un nom particulier ; Ptolémée, au IIe s., dans son Almageste, groupe 1 022 étoiles en 48 constellations |
| zodiaque | cercle de constellations, douze pour l’astrologie, que le Soleil semble traverser en une année |
| maison | division fixe de la sphère céleste : à chacun de ses levers, le Soleil repasse sur la première des douze maisons ; à chaque équinoxe de printemps, le Soleil repasse au point vernal qui est généralement considéré comme le point-origine des douze signes du zodiaque qui, eux, tournent durant l’année dans les douze maisons |
| ascendant | maison I, point-origine des douze maisons astrologiques |
| horoscope | positionnement des planètes et des signes du zodiaque par rapport aux maisons astrologiques à une date et un lieu donnés ; conclusions tirées de l’aspect de ces objets pour le sujet concerné par cette date |
| milieu du ciel | début de la maison X, qui correpond à la culmination des objets qui s’y présentent |
| aspect | position relative de deux astres vus de la Terre ou représentés dans un horoscope ; certains angles sont remarquables comme divisant exactement le cercle (60°, 90° …) |
| sextile | aspect favorable de deux planètes éloignées l’une de l’autre d’un sixième de zodiaque, soit soixante degrés |
| domicile | signe du zodiaque avec lequel une planète a le plus d’affinités et qu’elle gouverne |
| dignité | mises en valeur, positive ou négative – exil, exaltation, chute – des planètes du thème astral par le lieu où elles sont situées |
| précession | lent changement de direction, suivant un cercle, de l’axe de rotation de la Terre, une rotation tous les 26 000 ans environ ; dénommée précession des équinoxes car elle décale la position du point vernal |
| ère | période pendant laquelle le point vernal, du fait de la précession, traverse l’une des 12 constellations du zodiaque ; nous approchons de la bascule entre ère des Poissons et ère du Verseau |
| décan | chacun des douze signes est divisé en trois décans, il y a donc 36 décans de dix degrés chacun ; comme l’ascendant, il modifie l’influence de l’astre majeur qui gouverne le signe |
| mode | qualité affectée à un signe – cardinal, fixe, mutable – selon qu’il ouvre, conserve et achève une saison |
| noeud lunaire | points de l’orbite de la Lune où elle traverse l’écliptique ; jours où il ne faut pas jardiner |
Platon reste longtemps un modèle indépassable de philosophie.
– Pisano, Giovanni, Plato, c. 1280, Stone, Duomo, Siena
– Berruguete, Pedro, Plato, c. 1477, Wood, 101 x 69 cm, Musée du Louvre, Paris
– Feuerbach, Anselm Friedrich, Platonic Banquet, 1873, Oil on canvas, 400 x 750 cm, Nationalgalerie, Berlin
Inspirateur de St Thomas :
– Traini, Francesco, The Triumph of St Thomas Aquinas, c. 1323, Panel, Santa Catarina, Pisa
– Gozzoli, Benozzo, Triumph of St Thomas Aquinas, 1471, Tempera on panel, 230 x 102 cm, Musée du Louvre, Paris
Impérissable dialogue entre Platon et Aristote :
– Robbia, Luca della, Logic (or Philosophy), c. 1437, Stone, 83 x 69 cm, Museo dell’Opera del Duomo, Florence
– Raffaello, Sanzio, The School of Athens, 1509, Fresco, width at the base 770 cm, Stanza della Segnatura, Palazzi Pontifici, Vatican
– Veronese, Paolo, View of the Biblioteca, Oil on canvas, Biblioteca Nazionale Marciana, Venice
– Veronese, Paolo, Plato, 1560s, Oil on canvas, Biblioteca Nazionale Marciana, Venice
Légèrement classé dans l’erreur dès que les hérésies ressurgissent :
– Holbein, Hans the Younger, Christ as the True Light, c 1526, Woodcut, 84 x 277 mm, Kupferstichkabinett, Öffentliche Kunstsammlung, Basel
Par rapport à une situation où l’homme vit à terre et ne connaît pas l’éclairage nocturne, où il sait sans doute possible que les astres guident sa conduite en harmonie avec les forces de la terre elle-même, aujourd’hui avec la superstructure du progrès nous vivons hors-sol, ne regardons plus le ciel et inventons des forces comme l’inconscient ou le bagage génétique.
Le doute a changé de nature. Là où Ptolémée défendait son art en prouvant qu’il était possible de surmonter les difficultés des calculs, personne ne défend l’astrologie sauf ceux qu’elle intéresse, et encore. Est-elle seulement un objet de sociologie, là où le regard direct se dérobe ?
– Joanne Kepplero, Epitome Astronomiae Copernicae … Lentijs ad Danubium, 1618
La position de Kepler au XVIIe siècle fait déjà montre d’une extrême prudence. Il met en avant l’harmonie entre le cosmos et la vie ; dans ce référentiel consensuel, il abandonne le zodiaque, les maisons, ne gardant qu’ascendant, milieu du ciel et leurs opposés comme points de repères. Puis il donne les aspects des planètes comme une simple indication qui, en définitive, éclaire l’âme sur le destin qu’elle devrait se choisir. Il consent cependant à fonder sur les références mythologiques et les couleurs une caractérologie des astres qui se diffuse à ceux qui sont nés dessous.
» Car si Kepler est profondément convaincu que l’ordre du monde obéit à un plan divin, il exige aussi que l’on se pose toujours la question de la manière physique selon laquelle les intentions divines se réalisent par des moyens naturels dans le monde matériel.
Non seulement l’astrologie et l’astronomie keplériennes obéissent à la même exigence d’une explication physique des phénomènes, les deux sont également rigoureusement complémentaires. Elles doivent être situées au sein d’une théorie plus générale, qui est celle de l’harmonie du monde. »
– Fernand Hallyn, Rationalité de l’astrologie : l’exemple de Kepler, in Littératures classiques 1995
– Sphère armillaire (via astrolabium.be)
La psychologie moderne se sent fondée à juger de la conduite commune à partir des déviances de la pensée, modestement dénommées biais : biais de confirmation et autres pentes savonnées vers les vices et les erreurs. Il est vrai qu’il convient de les pointer puisque les politiques, publicitaires et réseaux sociaux s’en servent.
Le biais de surinterprétation, qui provient des aptitudes au pistage pour la chasse, s’observe aujourd’hui tant dans les clins d’œils qui s’opèrent entre films et séries cultes, les indices dont l’auteur de policiers parsème l’intrigue, l’exégèse biblique, que dans le déraisonnable rebond de la croyance en des complots ourdis par de riches et sagaces criminels. On le retrouvait à l’époque des précieuses dans l’attribution postérieure, dans l’Astrée ou les Caractères, de références à des personnages connus.
– L’Astrée de Messire Honoré d’Urfé. Première partie. 1612. À Paris chez Toussainct du Bray Rue St Iacques Aux Espics Meurs & en sa Bouticque au Palais en la Gallerie des Prissonniers. Avec Privilége du Roy. (via gallica.bnf.fr)
Céladon. Astrée.
Ce qu’on dit du biais de surinterprétation pourra encore s’appliquer à l’astrologie. Autant les dieux et le cosmos nous parlent de notre psychologie intérieure, dont ils servent globalement à la projection, autant l’assise d’interprétation constituée par les figures géométriques créées lors de leurs passages finit par vaciller aux vents violents d’une critique aveugle.
– Polygones inscrits
Pourquoi le carré est-il néfaste dans ce contexte ?
Et encore :
– Miniaturist, German, Astronomicum caesareum, 1540, Manuscript (Magl. 5. 41), Biblioteca Nazionale Centrale, Florence
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