Ceci est une poésie sans titre

Je fais souvent parfois un

rêve sans queue ni tête

Où j’ai perdu l’antivol de ma

bicyclette

Un cow-boy du far-west, de

cache-poussières vêtu

Rencontre son destin car c’est

là qu’on le tue

La prairie se souvient, à son

corps défendant,

L’entoure de sapins noirs et

intimidants.

Quitté la vieille route,

cherchant un raccourci,

Un tas d’ordures géant

surplombait cette rive-ci,

Fuis par un raidillon, des portes

de grotte mire,

C’est du moins comme ça à la

pêche aux souvenirs.

Il fallait faire des courses

pour la tante Marie,

Pq et chocolat, que garder

j’ai envie,

Planquer dans tel local, si

longtemps oublié,

Le fruit de mon larcin,

personne n’y met les pieds.

(écrit en janvier 2007 au réveil)

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