Le »bateleur » – I
Un homme devant une table de jeux
– Robert Place
– Mosaic, Cathedral, Monreale – marchands du temple
- Voir aussi : Lames du tarot
P.-S.
– Tacuinum sanitatis (B.N.)
la main invisible des fourmis
Le »bateleur » – I
Un homme devant une table de jeux
– Robert Place
– Mosaic, Cathedral, Monreale – marchands du temple
P.-S.
– Tacuinum sanitatis (B.N.)
– Ceux qui : suggestions de Bing
ceux qui
ceux qui aiment le Jazz
ceux qui auront curiosité de voir la Machine d’Arithmétique
ceux qui bâillonnent le peuple
ceux qui dorment les yeux ouverts
ceux qui en ont profité
ceux qui entendent et qui parlent
ceux qui étaient prisonniers
ceux qui font les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau
ceux qui inventent n’ont jamais vécu
ceux qui jouent encore à Pokémon Go
ceux qui l’ont fait
ceux qui l’ont vu
ceux qui la préconisent
ceux qui lui donnèrent ce sobriquet
ceux qui m’aiment prendront le train
ceux qui m’ont aidé
ceux qui m’accusent de falsifier l’histoire
ceux qui malaxent la peau fine de la terre
ceux Qui Marchent Debout
ceux qui mentent
ceux qui n’ont encore rien vu
ceux qui ne peuvent pas se protéger eux-mêmes
ceux qui ne représentent que des choses mortes
ceux qui ne rêvent pas aux étoiles
ceux qui ne voudront pas se faire de sa religion
ceux qui nous admirent
ceux qui nous ont condamnés à mor
ceux qui nous ont offensés
ceux Qui Ont Abandonné
ceux qui ont faim
ceux qui ont fait son histoire
ceux qui ont intérêt à connoître les productions de la nature
– Ceux qui : suggestions de Google
ceux qui ont paru jusqu’a ce jour
ceux Qui Ont Pris Goût Au Jeu
ceux qui ont quelque chose entre les oreilles
ceux qui ont signalé les guerres de la coalition
ceux qui ont un cœur
ceux qui pleurent
ceux qui restent debout
ceux qui restent esclaves du préjugé
ceux qui restent
ceux qui réussissent
ceux qui rêvent encore
ceux qui s’ occupent des applications de la géométrie descriptive
ceux qui s’aiment
ceux qui s’aiment
ceux qui s’éléphanteau
ceux qui s’attachent toute leur vie à montrer à quel point ce qu’ils sont en train de faire est difficile
ceux qui savent m’ecoutent
ceux qui savent
ceux qui se lèvent à l’heure où je me couche
ceux qui se sont démenés pendant ces 8 mois pour m’aider
ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires
ceux qui sont connus maintenant
ceux qui sont dedans veulent en sortir
ceux qui sont dehors veulent y entrer
ceux qui sont doux
ceux qui sont loin
ceux qui sont loin de chez eux
ceux qui t’aiment
ceux qui tiennent debout
ceux qui tombent
ceux qui veulent
ceux qui vivaient à Madagascar
ceux qui voient
ceux qui vont acheter Assassin’s Creed Unity
ceux qui vont mourir te saluent
ceux qui vont obtenir l’honneur de marcher les premiers
ceux qui vont s’aimer
ceux qui, ne sachant pas la vraie explication, ont voulu néanmoins avoir quelque
ceux qui, par un stupide orgueil ( – Ceux qui : recherche dans Wikipédia)
– Ceux qui : suggestions de Duckduckgo
« Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie
Ont droit qu’à leur cercueil la foule vienne et prie.
Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau.
Toute gloire près d’eux passe et tombe éphémère » (poème de Hugo, brocardé par Prévert ci-dessous)
– Monument – Saint-Sauveur
« Ceux qui pieusement…
Ceux qui copieusement…
Ceux qui tricolorent
Ceux qui inaugurent
Ceux qui croient
Ceux qui croient croire
Ceux qui croa-croa
Ceux qui ont des plumes
Ceux qui grignotent
Ceux qui andromaquent
…
Ceux qui ne prennent pas Le Pirée pour un homme
Ceux que leurs ailes de géant empêchent de voler
Ceux qui plantent en rêve des tessons de bouteille sur la grande muraille de Chine
Ceux qui mettent un loup sur leur visage quand ils mangent du mouton
Ceux qui volent des oeufs et qui n’osent pas les faire cuire
Ceux qui ont quatre mille huit cent dix mètres de Mont-Blanc, trois cents de Tour Eiffel, vingt-cinq de tour de poitrine et qui en sont fiers
Ceux qui mamellent de la France
…
Il fait chaud. Amoureuses, les allumettes-tisons se vautrent sur leur trottoir, c’est le printemps, l’acné des collégiens, et voilà la fille du sultan et le dompteur de mandragores, voilà les pélicans, les fleurs sur les balcons, voilà les arrosoirs, c’est la belle saison.
Le soleil brille pour tout le monde, il ne brille pas dans les prisons, il ne brille pas pour ceux qui travaillent dans la mine,
ceux qui écaillent le poisson
ceux qui mangent de la mauvaise viande
ceux qui fabriquent des épingles à cheveux
ceux qui soufflent vides les bouteilles que d’autres boiront pleines
ceux qui coupent le pain avec leur couteau
ceux qui passent leurs vacances dans les usines
ceux qui ne savent pas ce qu’il faut dire … »
– Ceux qui : suggestions de Wikipédia
Une compilation proposée par un moteur de recherche n’a pas d’âme, peut-être des préférences dictées par des impératifs commerciaux. Quand le poète s’engage, c’est différent.
L’hermite ou l’ermite – VIIII
C’est un vagabond … mais un ermite, un sage
… il apporte sa lumière et a son bâton …
– Michel Maier, Atalanta Fugiens (suis la Nature …)
– Nuovo et Piaccevole Gioco detto il Barone (1600) by peacay (le jeu du Baron – de l’Oye)
L’ermite et le mat ne se différencient peut-être que tardivement. Ils ont chacun leur bâton, soutien et symbole, parfois phallique, de pouvoir. Ils figurent deux versions du chercheur qui chemine, accompagné par la route, par la quête, qui le mènent, même si leurs parcours n’ont rien de commun.
En Italie, cette lame s’est aussi appelée le bossu (il Gobbo), le vieux (il Vecchio) et le temps (il Tempo).
– The Hermit by Lakandiwa (Deviantart)
– via (book-graphics.blogspot.fr/2013/11/tales-told-at-twilight.html)
– Master E. S., The Garden of Love, ab. 1465, Cleveland Museum of Art
Le »Mat »
C’est un vagabond … mais un fou
… un lynx blanc à ses chausses …
– Une minute après … (Blake)
Le mat peut indiquer la folie, l’abandon, mais aussi une autre dimension de la conscience, une autre lucidité. C’est la carte sans nombre ; zéro est symbole de régénération cyclique, symbole clos, matriciel, de l’initiation hermétique. Elle est en-dehors du jeu en ce sens que, privée de nombre, elle résume toutes les autres.
– Bosch Tarot (qui imite Hieronymus Bosch)
– Woman with deer – Van der Leyden
– (via eevientan-design)
– Théodore Chassériau – Sappho sautant dans la mer du haut du promontoire de Leucade, 1840 (via : les albums de Céline E.)
Éternel recommencement : Sapho sur la falaise de Leucade. Pas folle pourtant.
Dirait-on pas le mat et le bateleur, fin et début du tarot, dans ce retable :
– Bosch, Hieronymus, Last Judgment Triptych (exterior view), 1504-08, Grisaille on panel, Akademie der bildenden Künste, Vienna
Le »chariot » – VII
Un cocher avec deux chevaux
Cette allégorie pourrait avoir donné son nom aux tarots : le triomphe (triomfi en italien, trumps en anglais)
– Petrarch’s trump – via http://www.geocities.com
– Mosaic pavement of a 6th century synagogue at Beit Alpha, Israel. Signs of the zodiac surround the central chariot of the Sun (a Greek motif)
– Schönfeld, Johann Heinrich Triumph of Venus 1640-45
– L’Innamorato, Il Carro, Iassen Ghiuselev
– Le char du Soleil : heures du duc de Berry
– demonagerie.tumblr : Boulogne-sur-Mer – BM – ms.0188, f. 032v (Sun and Moon). 10th century [?]
– Les déesses premier sibelles – Recueil de 131 tableaux ou figures, tant dessinées au trait et ombrées que peintes (c. 1501 ; gallica via species barocus)
– Moon goddess riding a chariot – France c. 860
– Ici un jugement (mosaïque à Torcello) préfigurant un chariot
– Triomphe de Bacchus – Illustrations de L’Antiquité expliquée, Audran, grav.; N. Largillière … via gallica.bnf.fr
– Pesellino, Silius Italicus, De bello punico, c. 1450, Manuscript (Lat. XII. 68), Biblioteca Nazionale Marciana, Venice
P.-S. :
– Francesco di Antonio del Chierico, Petrarch: Triumphs, Songs, 1456, Manuscript (Ms. ital. 545), 270 x 170 mm, Bibliothèque Nationale, Paris
– Carlo Crivelli, Madonna Castiglioni, 1490
– Marie-Antoinette, en buste, de trois quarts à gauche ; cheveux bouclés maintenus par un double rang de perles ; corsage décolleté garni d’un volant de dentelle ; collier de perles : [photographie]
– Jacques Callot, la vie de la Mère de Dieu … Personnage lavant une perle
– Jacques Callot, la vie de la Mère de Dieu … Huître perlière
– Eugène Atget, Versailles – le Parc – Nymphe à la Perle
– Versailles – le Parc – Nymphe à la Perle (via e-monumen.net)
– Versailles – le Parc – Nymphe à la Perle (détail, via andrelenotre.com)
– Poudre de perles fines – Les parfums la Perle, 25, Boulevard des Capucines, Paris
Pas de surprises enfin si les perles sont dans notre culture.
– Kees van Dongen, Egyptian Girl with a Pearl Necklace, 1912-1913, oil on canvas, 100 x 81 cm, private collection
– Zucchi, Jacopo, The Coral Fishers, c. 1585, Oil on copper, 55 x 45 cm, Galleria Borghese, Rome
– Van Eyck, Ghent altarpiece (detail of a panel, via closertovaneyck.kikirpa.be)
– Van Eyck, Ghent altarpiece (detail of a panel, via closertovaneyck.kikirpa.be)
– Margherita Luisa d’Orleans, Amorino Medici, 1661 (via isimeria.tumblr.com)
– Boucher, François, Diana Resting after her Bath (detail), 1742, Oil on canvas, Musée du Louvre, Paris
Il existe 308 ponts sur la Seine, les principales villes la traversant sont :
Paris | 25 |
Troyes | 14 |
Châtillon-sur-Seine | 13 |
(Paris 16e) | 8 |
Boulogne-Billancourt | 7 |
(Paris 12e) | 7 |
Rouen | 6 |
Champagne-sur-Seine | 5 |
Clichy-la-Garenne | 5 |
Sainte-Colombe-sur-Seine | 5 |
Alfortville | 4 |
Argenteuil | 4 |
Bar-sur-Seine | 4 |
Melun | 4 |
Montereau-Fault-Yonne | 4 |
Neuilly-sur-Seine | 4 |
Paris 1er | 4 |
Poissy | 4 |
Source-Seine … | 4 |
– Villes classées par nombre de ponts
– La Seine en amont de Paris
– Paris
– Troyes
– Châtillon-sur-Seine
– Boulogne-Billancourt
– Bellini, Giovanni, Madonna and Child with Two Saints (detail), c. 1490, Oil on wood, Gallerie dell’Accademia, Venice
Prétexte à montrer de belles femmes, dans un registre plutôt profane ? pas seulement, la perle est aussi symbole d’une belle eau …
– Arcimboldo, Giuseppe, Water, Oil on canvas, 65 x 53 cm, Musées Royaux des Beaux-Arts, Brussels
– Arcimboldo, Giuseppe, Water, 1566, Oil on wood, 67 x 51 cm, Kunsthistorisches Museum, Vienna
– Neroccio de’ Landi, Portrait of a Lady, 1480s, Tempera on panel, 47 x 31 cm, National Gallery of Art, Washington
– Carpaccio, Vittore, Portrait of a Woman, 1495-98, Oil on wood, 29 x 24 cm, Galleria Borghese, Rome
– Dürer, Albrecht, Portrait of a Young Girl, 1507, Oil on panel transferred from parchment, 30 x 20 cm, Staatliche Museen, Berlin
– Moretto da Brescia, Portrait of Tullia d’Aragona as Salome (detail), c. 1537, Oil on panel, Pinacoteca Tosio Martinengo, Brescia
– Bronzino, Agnolo, Lucrezia di Cosimo, 1555-65, Oil on tin, 15 x 12 cm, Galleria degli Uffizi, Florence
– Jordaens, Jacob, Cleopatra‘s Feast, 1653, Oil on canvas, 156 x 149 cm, The Hermitage, St. Petersburg
– Vermeer, Johannes, Woman Holding a Balance, 1662-63, Oil on canvas, 42,5 x 38 cm, National Gallery of Art, Washington
– Voet, Jacob Ferdinand, Maria Mancini as Cleopatra, 1663-72, Oil on canvas, 75 x 62 cm, Staatliche Museen, Berlin
– Cassatt, Mary, Woman with a Pearl Necklace in a Loge, 1879, Oil on canvas, 81 x 60 cm, Museum of Art, Philadelphia
Curieux, ce mélange entre pureté et vanité, du à la transparence de la chose.
– Bailly, David, Self-Portrait with Vanitas Symbols, 1651, Oil on wood, 65 x 97,5 cm, Stedelijk Museum De Lakenhal, Leiden
– Master of Mary of Burgundy, Mary of Burgundy’s Book of Hours, 1470s, Manuscript (Codex Vindobonensis 1857), 225 x 163 mm, Österreichische Nationalbibliothek, Vienna
– Unknown goldsmith, Flemish, Jeweled Rooster Holding a Caduceus, 1570s, Enamelled gold, two pearls, thirty-four diamonds, two rubies, 7x 5 cm, Museo degli Argenti, Palazzo Pitti, Florence
– Albani, Francesco, The Four Elements: Water, c. 1620, Oil on canvas, diameter 180 cm, Galleria Sabauda, Turin
Des hordes d’islamistes fanatiques vandalisent des monuments et des statues à Palmyre. Un auteur anglo-saxon s’est emparé de l’évènement pour le prologue de son livre où les fanatiques, quinze siècles auparavant, sont chrétiens.
– Bernard Gagnon – Own work – View of Palmyra with the Temple of Bel, Syria
La statue, plus grande que nature, d’Athéna découverte dans les ruines de Palmyre en 1975 reste au musée de la ville. Ce sont des fouilles dans le sanctuaire d’Allat, une déesse arabe, qui l’ont mise à jour. Il s’agit d’une oeuvre inspirée par celle de Phidias, la statue chryséléphantine du Parthénon, telle que décrite par Pausanias.
– Athéna à Palmyre (via pinimg.com) : The statue of Al-lāt, equated with Athena, found in its temple (destroyed in 2015)
– The Palmyra Athena statue after desecration by ISIS. Photo via WSJ.
Catherine Nixey nous dépeint les déprédations et les horreurs des fanatiques, trois siècles avant Mahomet. La couverture du livre nous montre une déesse bien attirante ; une autre édition représente une statue bien abîmée et conforme semble-t-il au récit. Qui sont-elles ?
– Catherine Nixey, The darkening age, the Christian destruction of the classical world
– éditions : Macmillan, 2017 et Houghton Mifflin Harcourt, 2018
« La belle et impressionnante réalisation de la statue était sans doute bien éloignée des canons de l’Athènes d’origine, mais son nez grec bien droit, le marbre qui rendait sa peau translucide et sa ses lèvres charnues et moroses la rendaient aussitôt reconnaissable …
… Une simple décapitation ne suffit pas. D’autres coups tombent, arrachant le casque, le réduisant en pièces, la statue quitte son piédestal, bras et jambes brisés. »
Le texte, extrait de l’ouvrage historico-critique, parle bien d’une Athéna à Palmyre ; mais le personnage un peu plus vendeur qui figure finalement en couverture est tout autre. Chevelure ondulée et bien peignée, une croix tracée sur le front par des impies d’un autre temps : c’est Aphrodite, copie d’une sculpture de Praxitèle inspirée par sa muse et prostituée célèbre, Phryné.
– Tête d’Aphrodite du type Aspremont-Leyde/Arles, copie d’un original de Praxitèle. Marques chrétiennes (croix) sur le front et le menton. Trouvée à l’Agora. Musée national archéologique d’Athènes.
– King Artaxerces II worshipping goddess Anasita
Statues, bas-reliefs, monnaies, de tout temps les rayons du divin soleil ont ébloui les peuples, comme ici à Palmyre.
– Limestone relief from Palmyra (Syria) showing the moon god Aglibol, the supreme god Baalshamin, and the sun god Malakbel. First half of the first century CE (via ancient.eu)
– (via /mcmparis.files.wordpress.com)
Le dieu lune a aussi des cornes ; les divinités portent le vêtement des officiers romains.
– Herbert Schmalz, Queen Zenobia’s Last Look Upon Palmyra, 1888
– Statue à Palmyre (via education.abc.net.au)
– Leaf disc dedicated to Sol Invictus. Silver, Roman artwork, 3rd century AD. From Pessinus (Bala-Hissar, Asia Minor).
– Mexico 8 reales 1890
La liberté ainsi parée devient l’emblème des sociétés démocratiques. Mais la couronne conserve un caractère adapté aux merveilles religieuses.
– Pierre Botte on Twitter: « The Archangel Michael at the top of « Le Mont Saint-Michel » #Island #Normandy #Monastery #Abbey #MontSaintMichel #Archangel…
– Canova, Antonio, Tomb of Pope Clement XIII, 1792, Marble, Basilica di San Pietro, Vatican
Dans cette tombe de Canova, la Religion couronnée est associée au Génie …
– Great Seal of the French Republic
– Statue de la Liberté en cuivre patiné de vert-de-gris, sur un piédestal en placage de granite rose, New York
P.S. :
– Beyoncé aux Grammy awards
« According to an interview with Vogue Runway, Dundas revealed that the dress did, in fact, feature Beyoncé’s face, as well as influences from Gustav Klimt, art deco-esque Erté motifs, references to the African goddess Oshun, and lyrics from Bey’s song “Love Drought.” Dundas felt that these elements helped to bring to life Beyoncé’s narrative.“I like creating stories within a garment,” he said. “It was a fun way to celebrate the moment for her.” (via time.com)
Nimbe solaire :
– Meister der Münchner Legenda Aurea, Hours – Cambridge Univ Lib li.6.23 (Virgin nursing the Christ child), ca. 1430, Cambridge University Library
La bien-aimée du Cantique des cantiques :
– Miniaturist, German, Song of Songs, 14th century, Manuscript, Beinecke Rare Book and Manuscript Library, New Haven
Et …
– Schardt, Johann Gregor van der, Sol, c. 1570, Bronze, height 46 cm, Rijksmuseum, Amsterdam
Le nimbe ou auréole prend un aspect rayonnant :
– Botticelli, Sandro, Christ Crowned with Thorns, c. 1500, Tempera on panel, 47,6 x 32,3 cm, Accademia Carrara, Bergamo
– Bellegambe, Jean, Annunciation, 1516-17, Oil on canvas transferred from wood, 109 x 80 cm (central), 103 x 33 cm (side), The Hermitage, St. Petersburg
– Pisanello, Apparition of the Virgin to Sts Anthony Abbot and George, 1445, Panel, 47 x 29 cm, National Gallery, London
– Ceremonial Plaque depicting Cybele on her Chariot, Early 3rd century B.C., Afghanistan, Aï Khanum, Gilded silver, 1–2 mm x 25 cm, National Museum of Afghanistan, Kabul, 04.42.7